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JUSTICE ET DROITS DE L'HOMME à MADAGASCAR
30 juin 2012

ARTICLES REMARQUES - JUIN 2012

- 30 06 12 - Midi - Rajaofera Eugène - Les personnes qui ont de l'influence sur Andry Rajoelina
Le président de la transition est entouré d’un cercle restreint d’hommes de confiance qui s’occupent non seulement de sa politique, mais également de son business

27 06 12 - L'Express de Maurice - J.C. de l’Estrac : Madagascar est la base de la sécurité alimentaire de l’océan Indien
Après un tête à tête avec le Président de la Transition, celui qui prend ses fonctions de secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI) début juillet 2012 partage sa vision sur la place de Madagascar dans un cadre géopolitique régional. Il plaide pour un renforcement des liens politiques et économiques qui unissent les iles du sud-ouest de l’océan Indien, l'« indianocéanie ». Dans le domaine politique, la SADC aurait eu intérêt à s’appuyer davantage sur une organisation de plus grande proximité pour l’aider à démêler un écheveau bien singulier et très éloigné des questions politiques continentales. En matière économique, Madagascar possède tout ce qu’il faut pour nourrir la région et au-delà. La sécurité alimentaire de la région avec Madagascar comme base mais avec la pleine participation de l’ensemble des acteurs de la région est un beau chantier à réussir.

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  22 06 12 - Newsmada - Phénomène dahalo : tentative d'explications
L'embuscade meurtirère de Bekolintsa alimente les débats sur l’existence des dahalo dans le pays. Phénomène ancien, celui-ci a donné lieu à plusieurs études universitaires. Le vol de bœufs figure parmi les problèmes d’actualité les plus difficiles à résoudre. Il résiste à l’épreuve du temps et des transformations socio-économiques et politiques ainsi qu’aux mesures prises. La difficulté vient du fait qu’on ne connaît pas ses origines et que les explications avancées au sujet de sa récente recrudescence ressortent d‘une « sociologie spontanée », non dénuée de jugements de valeur a priori. Les responsables, à défaut de trouver des solutions adéquates, sont obligés ou bien de se rabattre sur l’utilisation de la force ou bien de ne rien faire, provoquant des critiques aussi bien de la part des personnalités politiques d‘opposition que du petit peuple. Il y a même ceux qui accusent le pouvoir d’être derrière le phénomène.


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  22 06 12 - Tribune - Communiqué du CCOC - La population, acteur souverain du processus de vérité-réconciliation
"Nous sommes tous conscients que se réconcilier est impérieux à l’heure actuelle pour le pays. Le retour cyclique des crises à Madagascar démontre un malaise profond qui révèle un fossé entre différentes couches de la société mais aussi l’inadéquation du système actuel à la construction d’une véritable Nation Malagasy. Aussi, si nous voulons mettre un terme définitif aux crises et construire un avenir commun et un Vivre Ensemble, une mise à plat de tous ces clivages et différends à travers un processus de réconciliation doit être entreprise dès maintenant. (...) Ce ne sont pas des groupes de citoyens (politiques/économiques/sociaux) ou des élites qui pourront à nouveau relever le pays mais la population toute entière. Pour que la réconciliation nationale ait véritablement une force morale et exécutoire, la population doit impérativement se l’approprier et soutenir le processus". (...) Le Collectif estime que la commission chargée de la réconciliation nationale devra "faire la lumière sur tous les conflits à travers des enquêtes indépendantes (...), ne pas accorder le pardon à ceux qui refuseront d’adhérer au processus de réconciliation".


 <>  21 06 12 - Les Nouvelles - Banque mondiale -  "Après trois ans de crise : évaluation de la vulnérabilité et des politiques sociales et perspectives d’avenir"
De par son insularité, la Grande Ile est sujette aux catastrophes naturelles qui sont principalement les cyclones. De plus, alors qu’elle subit régulièrement les affres des crises politiques et leurs corollaires, elle n’est pas non plus épargnée par les différents aléas de la conjoncture internationale. Dans son rapport, la Banque mondiale mesure les impacts de ces différents chocs, tels que les ressent la population. A l’heure actuelle, Madagascar présente le taux de pauvreté le plus élevé au monde avec Haïti.

- 20 06 12 - Jeune Afrique - Madagascar : difficile sortie de crise
Le magazine dresse un bilan nuancé de la situation économique du pays.  Le tableau n'est pas totalement sombre. Mieux : les dernières prévisions du FMI sont même encourageantes, écrit-il. Les Malgaches, mais aussi certains investisseurs étrangers - notamment asiatiques, mauriciens et français -, veulent croire à un rebond de l'économie. Les entreprises tournées vers l'international se portent mieux. L'externalisation informatique et des centres d'appels se développe.  Quant au secteur minier, il est l'objet de projets prometteurs. Il demeure cependant un secteur où tout reste à faire : celui de l'agriculture.

- 18 06 12 - La Gazette - Attaque de l'Etat contre Tiko : une action qui en vaut la peine
Le quotidien revient sur les mesure fiscales dérogatoires qui ont permis au groupe Tiko de se placer en situation de monopole sur de nombreux produits alimentaires de première nécessité. Des mesures qui auraient contribué à appauvrir non seulement l'industrie locale mais aussi les consommateurs. Les ministres de la mouvance Ravalomanana refusent de participer aux réunions gouvernementales pour protester, notamment, contre le harcellement fiscal dont serait l'objet le groupe qui se dit dans l'incapacité de rembourser de lourdes dettes fiscales, depuis la cessation de ses activités, suite aux pillages dont il a été victime début 2009.

- 16 06 12 - Le Courrier - Edito - Bonaventure - Un bordel incontrôlable
La jacquerie qui vient de se produire dans le Sud Est démontre que le régime d’Andry Rajoelina a perdu toute autorité et crédibilité. La nation est véritablement en danger. depuis plus de 3 ans, on assiste à des guéguerres de chefs, des luttes d’influence pour se maintenir au pouvoir et au lamentable spectacle de faire régner la gabegie et la corruption ainsi que de pillage des richesses naturelles. La population s'est enfoncée dans la pauvreté, amenant ainsi à une insécurité grandissante. Le régime n’arrive plus à contenir les contestations et les grèves.On est en train de vivre les prémices d’une guerre civile.

- 15 06 12 - Reflexiums - Dreamworks, arrête d'emmerder Madagascar
Mouvement d'humeur : "Je pointe un doigt accusateur vers Dreamworks qui exploite le nom de Madagascar à des fins purement commerciales sans faire profiter la Grande Ile. Je me demande ce que les Etats-Unis diraient si on sortait un film intitulé “ U.S.A ”, mais dont l’histoire se passerait à Madagascar ? Je voudrais bien savoir combien Dreamworks a donné au gouvernement malgache pour exploiter le nom de son pays. Le Hashtag #madagascar a été totalement pourri par les fans de ce film et je ne parle même pas de Google Actualité et des autres sources d’information. Dreamworks a réussi l’exploit de rayer le pays Madagascar de la mappemonde sans tirer une seule balle".


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  15 06 12 - La Gazette - Transition : Les "dahalo" en héritage ?
Le phénomène « dahalo » n’est que le résultat de décennies de laxisme contre les hors-la-loi en tous genres. Mais la Transition a hérité d’une gangrène oubliée et qui commence à infester tout le corps social. Les « dahalo » et leur expatriation vers le milieu urbain à travers le banditisme organisé, représentent autre grand volet du changement dont la mise en œuvre est actuellement bloquée par la crise politique. Befotaka n’est donc pas un échec des seules forces de l’ordre, mais l’échec de décennies de connivence des autorités, dont et surtout politiques, avec le grand banditisme et le crime organisé. L’habitude a gommé toute réactivité chez les citoyens. Les militaires et policiers qui louent leurs armes, les hommes politiques qui protègent « leurs hommes » et  l’impunité laissent froid. La société malgache perd au jour le jour, son image de société paisible, laborieuse, hospitalière, respectueuse des biens  d’autrui, solidaire dans la grande famille et soumise à l’autorité des anciens, des parents, des ainés et de l’autorité. Peu à peu, Madagascar est devenu le pays de l’enrichissement à bon compte dont profitent les « dahalo » en col blanc. La paysannerie a été laissée désarmée devant des prédateurs.

- 14 06 12 - L'Express - Humeur - Sylvain Ranjalahy - Etat de sièges
Les forces armées sont envoyés sur plusieurs fronts pour montrer ce qu'ils ont dans le ventre. Jusqu'ici ils se sont amusés à mater les opposants en les aspergeant de bombes lacrymogènes ou à tuer des soit-disant bandits qui sont souvent des innocents. Depuis quelques jours ils passent un test grandeur nature. Ils sont ainsi à Didy pour chasser les exploitants miniers qui ont mis à sac la réserve forestière pour dénicher du saphir. Les forces armées sont également en croisade contre des dahalo à Befotaka Sud où elles ont essuyé de lourdes pertes en vies humaines. Ce sont les manifestants d'Ambohijatovo et du 13-Mai qui se frottent les mains. Comme il faut envoyer presque tout l'effectif de l'Emmo/nat et du Gsis pour venir à bout de ces dahalo, la voie sera peut-être libre pour des actions de contestation dans la capitale...

- 13 06 12 - Jeune Afrique - Opposition cherche leader désespérément
La politique a horreur du vide. Comme les anciens présidents sont aux abonnés absents, de nouvelles figures de la contestation malgache apparaissent, dont la turbulente journaliste Lalatiana Rakotondrazafy. Elle n'incarne pas l'alternative politique : Il y a trois ans, elle était la pasionaria d'Andry Rajoelina. Sur les ondes de Radio Viva (appartenant à Rajoelina), c'est elle qui appelait à descendre dans la rue pour faire tomber Ravalomanana. Elle faisait encore office de conseillère du président. Mais, depuis, une brouille est survenue et la journaliste a également profité du vide laissé par les trois anciens présidents qui menaient l'opposition jusque-là. Pour cela, elle recycle les ficelles de 2009.

- 13 06 12 -  Les dégâts de l’industrie minière canadienne à Madagascar
Gwen Schulman du site canadien Addax, site de nouvelles sur l’Afrique basé à Montréal, parle avec Mamy Rakotondrainibe du Collectif pour la défense des terres malgaches sur les dégâts humains et environnementaux qui résultent des activités de la société minière canadienne Sherritt International à Ambatovy. Durée : 15 mn
Lien : http://addax.wordpress.com/2012/06/06/madagascar-les-degats-de-lindustrie-miniere-canadienne/

- 12 06 12 - L'Express - Humeur - Sylvain Ranjalahy - Transition à perpétuité
Les Malgaches sont condamnés à une peine de quatre ans de transition forcée à perpétuité. À en juger le rapport des experts onusiens, il est interdit d'organiser des élections avant mai 2013. Il fallait s'y attendre étant donné que onze mois est un délai standard pour tenir des élections valables en Afrique. Pour les Nations Unies, il n'y a pas de marchandage possible. C'est à prendre ou à laisser en dépit du chronogramme dressé par la Cenit. Ce n'est donc pas l'éventuelle face-à-face entre Rajoelina et Ravalomanana qui va pouvoir réduire ce délai et permettre l'organisation d'une élection. À moins peut-être que les deux enfants prodigues acceptent de déclarer forfait pour les présidentielles.

<>   12 06 12 - Nations Unies - Report of the electoral needs assessment mission to Madagascar 22/04 au 08/05/12
Le rapport de mission des Nations Unies préconise des élections jumelées en mai-juin 2013. Ce calendrier va à contre-courant du calendrier partiel de la CENIT. « La mission des Nations Unies recommande de ne pas organiser des élections durant la période des pluies. Elle propose que les élections présidentielles et législatives soient tenues simultanément en mai-juin 2013 afin de marquer la fin de la Transition et le renouvellement des institutions de l’État au niveau national », relate le rapport qui met en exergue que le jumelage des deux principales élections nécessite une telle durée. Le document mentionne également que le contexte actuel n’est pas encore propice à la tenue de scrutins : " L’environnement politique à Madagascar et le contexte spécifique de la mise en oeuvre de la feuille de route fait apparaître un potentiel de violence lié aux élections. Ce potentiel violent se trouverait probablement à son plus haut niveau si les deux principaux acteurs politiques, les Présidents Rajoelina et Ravalomanana, devaient être candidats tous les deux".  Le rapport invite la SADC « à de plus fréquentes visites à Madagascar » pour renforcer le processus de facilitation et de médiation. Cette nouvelle donne perturbe les acteurs politiques, pro-régimes et opposition réunis. La question se pose de savoir si la CENIT conservera la possibilité d’arrêter un calendrier qui n’aurait pas l’aval de la communauté internationale.

- 09 06 12 - Biblio : Sylvain Urfer, « Madagascar une culture en péril ? ». L’essai de 139 p., illustré par le photojournaliste franco-malgache Rija Solo, est l’occasion pour le jésuite du SeFaFi, qui vit et travaille à Madagascar depuis 40 ans,  de brosser un portrait général de l’identité en mutation de la Grande Ile. La nation malgache est en recherche de son unité. L’auteur revient des siècles en arrière pour appuyer sa thèse. Le constat risque de faire grincer des dents : la société malgache est qualifiée de fermée et sclérosée
Interview de Sylvain Urfer par RFI : http://www.rfi.fr/emission/20120610-madagascar-recherche-son-identite

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  08 06 12 - Friedrich Ebert Stiftung - Harisoa Rasamoelina - Croyances et instrumentalisation à Madagascar
Le respect du fihavanana, concept quasi sacré, difficilement traduisible, serait l’une des caractéristiques qui nous distingue le plus des autres peuples du monde. Pourtant, cette perception est-elle juste ou n’est-elle que le fruit d’une de nos croyances ? L’utilisation quasi abusive du concept de raiamandreny manifeste également une croyance fortement ancrée selon laquelle seuls les aînés détiennent l’autorité légitime. Pour nous rassurer, nous avons alors le besoin de considérer nos dirigeants comme étant des raiamandreny "père et mère". Enfin, nos croyances concernant nos diversités ethniques et la structuration en castes de nos sociétés, qu’elles soient réelles ou imaginaires continuent d’alimenter notre imagination et conditionnent nos rapports aux Autres. Ces croyances, qui déterminent nos attitudes et nos comportements, ont joué un rôle important dans le développement et l’internalisation d’autres concepts plus modernes, tels que la Nation, la démocratie, les valeurs républicaines, l’Etat… Les 50 années d’indépendance et la pauvreté généralisée, les crises sociopolitiques qui secouent régulièrement le pays, ainsi que la difficulté manifeste de progresser dans le processus de démocratisation nous amènent à nous poser les questions légitimes sur notre devenir si nos croyances continuent d’influencer aussi négativement nos choix.

- 08 06 12 - Newsmada - Opinion - Réconciliation nécessaire
Le Conseil du «Fampihavanana» Malagasy (CFM) ou Conseil National pour la Réconciliation (CNR) va bientôt être mis sur pied. Il va devoir remuer la boue sur laquelle repose l’histoire politique de Madagascar. Les Malgaches sont réputés un peuple pacifique, mais les violences, les pillages, les incendies, bref, la mort, jalonnent le parcours de leurs institutions. Sur 10 chefs d’Etat, un seul aura été choisi par voie électorale et selon les dispositions constitutionnelles. C’est donc un demi-siècle d’indépendance et de république que le CFN devra passer en revue et analyser pour atteindre ses objectifs d’une réconciliation nationale véritable.

- 07 06 12 - L'Express - Courrier des lecteurs - Raharinaivo Andrianatoandro - Au delà de l'indignation, la colère
L'ancien membre du Congrès, de sensibilité "légaliste", fait part de son point de vue sur la rencontre annoncée entre Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana. Quelle est la raison de cette rencontre. Quel est son objectif ? La feuille de route a été ratifiée par le Parlement, elle a donc force de loi. Dès lors que va-t-on encore négocier ? Au départ, la communauté internationale a considéré qu’il y avait deux protagonistes, puis quatre, et enfin une vingtaine avec la feuille de route. Maintenant, on revient à deux qui doivent décider du sort de Madagascar. Madagascar serait-il un pays d’expérimentation de solutions politiques non éprouvées ? Mais jusqu’où peut-on faire confiance à un ancien et actuel chef d’État qui ont occulté leurs devoirs et obligations liés à leur qualité et fonction au profit de considérations autres que patriotiques ? Pour éviter que l’on ne revienne dans une crise cyclique, il serait peut-être sage et prudent d'envisager que ni l'un ni l'autre ne se présentent aux élections à venir.

- 06 06 12 - Tribune - Tribune libre - E.V. - Que cache le train Beriziky ?
Omer Beriziky est-il encore l’homme de la situation ? En période de crise, le pourrissement est l’annonce d’une fin imminente. C’est la situation actuelle de la Grande Ile. Madagascar est « l’homme malade » de l’Afrique, le pays figure en queue de peloton de la course vers le développement. Ce n’est pourtant pas faute de potentialités, la Grande Ile en regorge. Le phénomène consterne toujours les ambassadeurs qui se sont succédés depuis l’Indépendance. Tout est donc question d’hommes et, surtout, de gouvernance. La crise actuelle est le résultat de cinquante ans de ploutocratie et kleptocratie. Le règne de l’argent et le pouvoir aux voleurs constituent les mamelles de la vraie-fausse démocratie instaurée à coups d’élections truquées pour voler la souveraineté populaire. Le Premier ministre Omer Beriziky inquiète en laissant planer le doute sur la qualité de ses… qualités. Les observateurs restent perplexes quand le chef de gouvernement refuse d’agir ou réagit de façon inexplicable sinon incongrue. La nation a tout le temps de mourir tranquille en attendant que Beriziky se décide à jouer son rôle.

<>   04 06 12 - Sommet extraordinaire de Luanda -  Les résolutions de la SADC
Le Sommet de la SADC réuni à Luanda le 1er juin valide le scénario de l’ouverture de discussions urgentes entre Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana pour débloquer la situation. Il mandate pour ce faire le médiateur de la SADC, l’ancien président mozambicain Joaquim Chissano et la Troïka.Il s’agit d’une « question d'urgence, afin d'assurer la pleine application de la feuille de route et de créer un environnement propice à la tenue d’élections crédibles, libres et équitables ». La mise en œuvre des mesures d’apaisement, l’amnistie, l’arrêt des poursuites judiciaires à connotation politique et le retour des exilés devraient, entre autres, figurer à l’ordre du jour. Les deux protagonistes ont fait savoir récemment leur disposition à discuter, un scénario improbable il y a quelques mois encore. L’initiative de la SADC semble mettre sur la touche, au moins pour l’instant, Didier Ratsiraka et Albert Zafy ainsi que les autres signataires de la feuille de route. Le récent déplacement à New-York d’Andry Rajoelina n’aura pas été complètement inutile. Il aura au minimum amené les durs du régime à se préparer psychologiquement à un « accord politique », pour reprendre la formule utilisée par Andry Rajoelina à l’issue de son entretien avec Ban Ki-Moon.

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 <> articles particulièrement signalés - <>doc documents à valeur permanente

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