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JUSTICE ET DROITS DE L'HOMME à MADAGASCAR

4 juin 2021

ARTICLES REMARQUES - JUIN 2021

- 09 06 21 - Craad-OI & Collectif Tany - Projet Base Toliara - Lettre ouverte aux président de la République et au gouvernement
Face à un regain d’activités des entités qui réclament la reprise des activités de la société minière Base Toliara, Le Craad-OI et le Collectif Tany ont rappelé dans une lettre ouverte au chef de l’Etat et au gouvernement les principaux faits qui rendent, selon eux, l’arrêt des activités de cette société indispensable

- 04 06 21 - Craad-OI et Collectif Tany - Appel aux autorités pour un audit des impacts environnementaux et sociaux de QMM à Taolagnaro
 Le Craad-OI et le Collectif Tany écrivent notamment : « En cette période où les autorités sont en train de négocier les termes du renouvellement éventuel du contrat de la compagnie Rio Tinto/QIT Madagascar Minerals (QMM) pour l’extraction d’ilménite à Taolagnaro, il est indispensable de souligner que des organisations de la société civile ont tiré la sonnette d’alarme à diverses reprises, et ont appelé à un audit environnemental et social exhaustif de cette exploitation minière[afin d’alerter les autorités compétentes sur les préjudices subis par les habitants des villages directement affectés par l’installation de cette compagnie minière. Face au constat établi par une nouvelle analyse scientifique de la pollution de l’eau par ses opérations minières, des mesures urgentes doivent être prises pour tenir la compagnie responsable de ces impacts néfastes sur l’environnement et la santé des communautés locales concernées. (…)  Nous demandons incessamment aux autorités compétentes de prendre les mesures urgentes qui s’imposent pour tenir la compagnie Rio Tinto/QMM responsable des conséquences négatives de son exploitation minière, et exiger de cette compagnie les réparations qui s’imposent à l’égard des communautés affectées. »

 

 


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31 mai 2021

REVUE DE PRESSE - MAI 2021

REVUE DE PRESSE - MAI 2021
SOMMAIRE POLITIQUE Affaires nationales Lutte contre le coronavirus Diplomatie DROITS HUMAINS - GOUVERNANCE Insécurité, dahalo, enlèvements, vindicte populaire Justice Gouvernance Migrations clandestines, traite Universités, éducation Droits de l'enfant...
31 mai 2021

ARTICLES REMARQUES - MAI 2021

- 14 05 21 -  Réseau Malina - Dinan'Ihorombe otage d'abus et de manipulations
Dans l’Ihorombe, le dina régional a été suspendu. La convention collective s’est retrouvée piégée par de multiples abus de pouvoir. Corruption et népotisme ont détruit l’esprit du dina.

- 14 05 21 - Réseau Malina - Tosika Fameno : corruption généralisée dans la distribution des aides d'urgence
Malina, qui signifie « être vigilant » en malgache, est un réseau de journalistes d’investigation malgache créé en 2018. il est soutenu par Transparency International – Initiative Madagascar (TI-IM). Son objectif est de produire des articles et reportage de qualité mettant en lumière les pratiques de grande corruption à Madagascar.
444 millions de dollars des partenaires de Madagascar ont été consacré à la crise sanitaire liée au Covid-19. 187 ;9 millions de dollars de ces aides viennent du FMI, 170 millions de dollars de la Banque Mondiale, 11,4 millions de dollars de l’Union européenne et 64 millions de dollars de la Banque Afrique de Développement. L’Agence Française pour le Développement a transféré 11,4 millions de dollars. Le réseau Malina dénonce l’opacité et la corruption dans l’utilisation de ces aides destinées aux familles les plus fragilisés par la pandémie.

- 28 05 21 - France Culture - Cultures Monde – Depuis huit mois, le Sud de Madagascar connaît une grave crise alimentaire en raison de la sécheresse. Gaëlle Borgia, correspondante de France 24 s'est rendue dans la région la plus durement concernée.
https://www.franceculture.fr/emissions/cultures-monde/table-ronde-dactualite-internationale-presidentielle-iranienne-un-ultra-conservateur-sans-rivaux  (22 premières minutes)

A revoir, le reportage de Gaëlle Borgia sur France 24 du 14/05/21 : Madagascar au bout de l’espoir
https://www.france24.com/fr/%C3%A9missions/reporters/20210514-madagascar-au-bout-de-l-espoir (21 minutes)
C'est l'une des catastrophes les moins médiatisées au monde. À Madagascar, 1,5 million de personnes sont frappées par une grave crise alimentaire et ont besoin d'une aide d'urgence. Plusieurs dizaines de personnes sont déjà mortes de faim. En cause, la sécheresse sans précédent qui s'est abattue sur le sud de l'île ces dernières années et a détruit la quasi-totalité des cultures. Alors que le Programme alimentaire mondial demande une aide d'urgence de 62,45 millions d'euros, notre correspondante Gaëlle Borgia s’est rendue dans la région d'Anosy, la plus durement frappée par la crise.
À Madagascar, depuis six mois, hommes, femmes, personnes âgées et enfants meurent de faim dans l'indifférence générale. Des villages reculés de l'extrême sud, difficilement accessibles, sont devenus des mouroirs. Les images d'enfants squelettiques sont choquantes.
Selon le Programme alimentaire mondial (Pam), 1,5 million de Malgaches ont actuellement besoin d'une aide alimentaire d'urgence, sans quoi ils ne survivront pas. En cause : une sécheresse inédite et galopante, due au dérèglement climatique mondial.
Ces dernières années, les pluies se sont faites de plus en plus rares dans le sud du pays, voire sont devenues inexistantes, à tel point que la quasi-totalité des cultures de la région ont été détruites et les terres sont devenues infertiles. La majorité des habitants dépend pourtant de l'agriculture pour survivre.
Tandis que le gouvernement malgache refuse toujours de déclarer l'état d'urgence, le Pam a demandé 62,45 millions d'euros aux pays donateurs pour sauver les populations de la famine.
Dans ce reportage, nous nous sommes employés à faire témoigner ces victimes de la faim et à expliquer les causes multiples de cette catastrophe : entre criminalité, corruption, pauvreté et politique, les crises alimentaires malgaches sont récurrentes et complexes. Selon l'ONG Care, elles font partie des dix crises les moins médiatisées au monde.
Le tournage s’est principalement déroulé dans la région d’Anosy, à l’extrême sud de Madagascar, une des zones les plus reculées et les plus dangereuses de l’île.
Le chauffeur qui nous a accompagnés, ainsi que le gérant de la société de location de véhicules par laquelle nous sommes passées, craignaient pour notre sécurité, car le district d’Amboasary Atsimo, où nous nous sommes rendus, est régulièrement le théâtre d’attaques de Dahalo, ces bandits ruraux qui font des razzias dans les villages et tuent.
Nous avons eu l’impression de tourner dans des villages mouroirs, où les rares personnes visibles attendent l’aide alimentaire pour survivre, en se cachant des Dahalo, tandis que la majorité a déserté cette zone dévastée par la sécheresse.
La situation est si dramatique que nous avons transporté de grosses quantités de riz, d'huile et de sel à l’attention des habitants des villages où nous avons tourné.
La plupart des enfants, adolescents et personnes âgées que nous avons rencontrés n’avaient plus que la peau sur les os et semblaient anesthésiés, sidérés par la faim. Parce qu'ils sont plus vulnérables que les adultes, ce sont eux qui dépérissent en premier.
Nous avons eu l’impression, au milieu de ces silhouettes squelettiques et silencieuses, de nous trouver dans des villages de zombies errants. Mais dès lors que le Programme alimentaire distribuait les fameux petits sachets de farine enrichie appelés "Plumpy'Doz", le sourire et l’énergie des enfants revenaient aussitôt. Le changement soudain était assez frappant. "Plumpy, Plumpy !" est devenu leur cri de joie préféré.

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21 05 21 - Amnesty_International - Madagascar - Plus_d_un_million de_personnes sont touchées par la famine; il faut intervenir de toute urgence

Face à la terrible famine qui touche actuellement plus d’un million de personnes dans le sud de Madagascar, il faut que les donateurs, les États étrangers et les responsables régionaux renforcent l’aide humanitaire pour éviter une crise des droits humains, a déclaré Amnesty International dans un communiqué du 21 mai 2021. Alors que le pays connaît sa sécheresse la plus grave depuis 40 ans, deux entités des Nations unies, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), ont tiré la sonnette d’alarme au cours de la semaine du 10 mai afin d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la crise humanitaire qui se déroule dans le sud de Madagascar. « Les droits de plus d’un million de personnes sont menacés dans le sud de Madagascar, où des milliers de personnes risquent de souffrir d’inanition et plus d’un million n’a pas accès à de la nourriture en quantité suffisante. La situation est désastreuse, il faut entreprendre immédiatement une action régionale et mondiale coordonnée pour arrêter cette catastrophe, qui pourrait rapidement devenir une tragédie humaine, a déclaré Tamara Léger, conseillère pour le programme Madagascar à Amnesty International.

- 06 05 21 - Tribune - Tribune libre - Cri du coeur de femmes ayant perdu leur père à cause d 'une pénurie d'oxygène

Un peu plus d’un an après la mise en quarantaine des deux principales villes malgaches, nous avons parcouru la ville d’Antananarivo à la recherche d’un établissement pouvant prendre en charge notre père, atteint par le coronavirus. Après de longues péripéties, nous avions fini par trouvé une place au centre de traitement Covid-19, au village Voara à Andohatapenaka. Dès le deuxième jour, il est resté sans oxygène pendant 4 heures. On lui a dit : « Papa, prépares toi, on est à court d’oxygène ! » Il a répondu « D’accord » puis il s’était mis à faire des exercices de respiration. Nous l’avons perdu le troisième jour, à savoir le 25 avril 2021.

 

 


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30 avril 2021

REVUE DE PRESSE - AVRIL 2021

SOMMAIRE

POLITIQUE

  • Affaires nationales
  • Lutte contre le coronavirus
  • Diplomatie

DROITS HUMAINS - GOUVERNANCE

  • Insécurité, dahalo, enlèvements, vindicte populaire
  • Justice, prisons
  • Gouvernance
  • Migrations clandestines, traite
  • Universités, éducation
  • Droits de l'enfant
  • Santé
  • Médias, réseaux sociaux

ÉCONOMIE - SOCIAL

  • Ressources naturelles
  • Environnement, aménagement, foncier
  • Coopération, bailleurs de fonds
  • Economie - Social

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L'actualité du mois vue par les dessinateurs de presse

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24 avril 2021

ARTICLES REMARQUES - AVRIL 2021

- 28 04 21 - Le Monde - A Madagascar, des hôpitaux sous-équipés et débordés face à l'afflux des malades du Covid_19
Le pays fait face à une vague meurtrière de coronavirus, due au variant sud-africain, avec près de 10 000 cas et 200 décès en un mois, selon les chiffres officiels. Les autorités, faute de parvenir à endiguer la propagation du coronavirus, s’efforcent de limiter l’expression des mécontentements. Après des mois de tergiversations, l’exécutif s’était résolu à adhérer à l’initiative Covax le 30 mars. Les premières doses devraient arriver en juillet sur l’île. Le président Andry Rajoelina est revenu pour quinze jours à un confinement total durant le week-end et le pays est à nouveau fermé aux vols extérieurs pour une durée indéterminée.

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23 04 21 - Communiqué du SeFaFi - La Covid-19 fossoyeur de la démocratie

La deuxième vague de la pandémie de Covid-19 frappe Madagascar de plein fouet. Les conséquences économiques de cette crise qui dure depuis plus d’un an sont inévitables, tout comme les conséquences sociales générées par les pertes d’emploi et par l’inévitable suspension de l’enseignement. Les pertes en termes de capital humain et intellectuel sont aussi préoccupantes car le virus fait disparaître un nombre considérable de personnalités de la société civile, de professeurs d’université, de journalistes, d’intellectuels et de techniciens de tous bords qui étaient des piliers de la société. Ils laissent un vide difficile à combler. L’irruption et la force de la deuxième vague de la pandémie étaient mesurables et prévisibles. Il aurait fallu se préparer au pire. Et pour cela, renforcer les mesures de précaution, recruter et former du personnel médical et paramédical en masse, équiper les hôpitaux, informer et éduquer les citoyens, mais aussi et surtout fermer hermétiquement les frontières. S’ajoute à cela les tergiversations du gouvernement en matière de traitement et de réponse sanitaire à la crise. La pénurie actuelle d’oxygène est la preuve la plus tangible de ce laxisme. Quant aux statistiques quotidiennes concernant l’expansion de la pandémie, sont-elles fiables ? On peut légitimement en douter. Autre entorse et non des moindres due à l’imprévoyance, c’est l’encadrement juridique de cette situation d’urgence sanitaire qui devient de plus en plus bancal. L’accès à l’information, la liberté de presse et la liberté d’expression sont foulés au pied. Un ensemble de droits qui sont le corollaire de la transparence, de l’intégrité et, par extension, de la démocratie. Sans information, les citoyens ne peuvent participer pleinement à la vie publique. Cette absence de participation constitue une forme de dictature. Madagascar ne doit pas tomber dans la spirale autocratique que lui prédisent les chercheurs en science politique et les observateurs du monde entier.

<> 20 04 21 - Craad-Oi & Tany - Les habitants de Nosy Mitsio toujours plus inquiets de perdre leurs droits sur leur île
Cinq mois après la lettre ouverte adressée au président de la République, la population de cette île ne cesse d’exprimer ses inquiétudes sur les impacts d’un projet touristique de grande envergure d’un investisseur européen. Le ministre de l’aménagement du territoire leur a fourni une réponse qui n’aborde pas l’aspect fondamental du sort réservé aux habitants. Des membres des communautés locales ont déclaré avoir été approchés par une équipe chargée de l’étude d’impact environnemental d’un projet, fin novembre 2020. Ils ont eu ainsi connaissance de la construction de plusieurs villas ou bungalows à l’endroit même de leurs lieux d’habitation et de travail. Le caractère partiel des réponses, par ailleurs contredites par certains faits sur le terrain et le silence des autorités nationales sur le sujet Nosy Mitsio d’une manière générale, alimentent l’inquiétude et la crainte de la population d’être considérés comme des citoyens de seconde zone. Les organisations exigent la transparence sur ce dossier et le respect des droits des paysans et des autres personnes travaillant dans les zones rurales.

15 04 21 - Le Grand continent - Olivier Vallée - Le canal du Mozambique : un espace géocritique
Pour comprendre la politique menée par la France dans l'Océan indien, il faut revenir à la géographie. Dans cette riche étude, Olivier Vallée nous replace, à la lumière des événements récents, dans le contexte historique et politique d'un espace réticulaire : le canal du Mozambique.

- 14 04 21 - Craad-OI et Collectif Tany - Les droits et la voix de la grande masse de la population de Toliara comptent
Les auteurs du communiqué rappellent que les communautés locales ont le droit de s’opposer à un projet « qui les expose à de graves atteintes à leurs droits humains fondamentaux
 ». Le 9 septembre 2020 la Cour des comptes avait mis en exergue des irrégularités relatives à l’obtention des permis du projet, l’insuffisance de la prise en compte des impacts environnementaux sur des zones sensibles et protégées, le non-respect du droit de la propriété du sol, dont les droits fonciers des occupants traditionnels, et la violation des droits des collectivités publiques relatifs au domaine public et au domaine privé. Les organisations réaffirment leur position selon laquelle l’obtention irrégulière, donc illégale, des permis environnemental et miniers du projet, conjuguée aux risques de corruption liés à une telle irrégularité, ainsi que la gravité des impacts irréversibles de ce projet sur les droits fondamentaux des communautés concernées, ne permettent en aucun cas d’envisager une quelconque négociation concernant la reprise du projet et devraient constituer un motif irréfutable pour son arrêt définitif. Elles condamnent les propos d’un sénateur qui réclame la reprise des activités de Base Toliara et assure la promotion du projet, alors que la suspension de toutes activités de communication a été décrété par les autorités et reste en vigueur.

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09 04 21 - Amnesty International - Rapport 2020/2021 - Entrée Madagascar

Le nouveau rapport de l’organisation sur la situation des droits humains dans le monde, qui est publié après plusieurs années d’interruption, couvre 149 pays et présente une analyse détaillée des grandes tendances en matière de droits humains observées à travers le monde en 2020.

- 05 04 21 - France 24 - Les observateurs - Arabie saoudite - Mélanie, domestique malgache forcée à la prostitution et enterrée à la pelleteuse
Comme des centaines d’autres Malgaches, Mélanie, 22 ans, avait émigré en Arabie saoudite pour y travailler comme aide domestique. Le 15 mars, une vidéo montrant l’enterrement de la jeune femme, le corps recouvert à l'aide d'une pelleteuse, dans un cimetière non-musulman dans l’est du pays a choqué à Madagascar, où les rites d’inhumation sont sacrés. Des associations dénoncent un trafic humain meurtrier des travailleuses d’Afrique de l’Est dans ce pays du Golfe.

<> 02 04 21 - Arte Reportage - Le Kere dans le Sud
C'est une crise qui n'a quasiment pas été médiatisée. À #Madagascar, depuis six mois, hommes, femmes, personnes âgées et enfants surtout, meurent de faim dans l'indifférence générale. Des villages reculés de l'extrême sud, difficilement accessibles, sont devenus des mouroirs. Les images d'enfants squelettiques sont choquantes. Selon le Programme alimentaire mondial (PAM), un million et demi de personnes ont besoin d'une aide alimentaire d'urgence, sans quoi elles ne survivront pas. Depuis quelques années, la sécheresse s'intensifie. Dans certaines localités, il n'y a pas eu de grosses pluies depuis deux ans. Le gouvernement refuse de déclarer l'état d'urgence, mais le PAM demande soixante-seize millions de dollars pour sauver ces populations de la #famine. Entre #criminalité, #pauvreté et #politique, les crises alimentaires malgaches sont récurrentes et complexes.

Disponible du 02/04/2021 au 02/05/2021- 13'30

ARTE Reportage - Madagascar / Sénégal / Thaïlande - Regarder l'émission complète | ARTE

À Madagascar, depuis 6 mois, hommes, femmes, personnes âgées et enfants surtout, meurent de faim dans l'indifférence générale

https://www.arte.tv

 <>  21_04_01 Agoravox - Didier Ratsiraka : l'amiral rouge - De la dictature communiste à "l'humanisme écolo"
Hospitalisé depuis le 22 mars 2021 pour un "contrôle de routine dû à une petite grippe", l’ancien Président de la République de Madagascar Didier Ratsiraka est mort d’un arrêt cardiaque à Tananarive le matin du dimanche 28 mars 2021, à l’âge de 84 ans (il est né à Vatomandry, à 200 kilomètres au sud de Tamatave, le 4 novembre 1936). Le 29 mars 2021 fut déclaré jour de deuil national avec les honneurs militaires. Avec lui disparaît un énorme pan de l’histoire de Madagascar, histoire plus triste qu’heureuse, et néanmoins contrastée d’un jeune militaire qui a pris le pouvoir par les armes et qui a dû le rendre à la suite d’un soulèvement populaire. L’histoire est partagée car il est parvenu à revenir au pouvoir par la voie démocratique mais a été balayé par un autre soulèvement après son refus de prendre en compte le résultat d’un nouveau scrutin.

 


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31 mars 2021

REVUE DE PRESSE - MARS 2021

SOMMAIRE

POLITIQUE

  • Affaires nationales
  • Lutte contre le coronavirus
  • Diplomatie

DROITS HUMAINS - GOUVERNANCE

  • Insécurité, dahalo, vindicte populaire
  • Justice, prisons
  • Gouvernance
  • Trafics d'or à destination de Dubaï via l'Afrique du Sud
  • Droits des femmes, traite
  • Agitation dans les universités
  • Droits de l'enfant
  • Santé
  • Médias, réseaux sociaux

ÉCONOMIE - SOCIAL

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30 mars 2021

ARTICLES REMARQUES - MARS 2021

- 30 03 21 - Tribune - Jean-Pierre Dominiccini - Moi...Didier Ratsiraka
Jean-Pierre Domenichini, époux de Monique Dorothée Bakoly Ramiaramanana, spécialiste de la langue et de la civilisation malgache; a voué sa vie à la connaissance historique et anthropologique de Madagascar. En 2015 il s'est livré dans Tribune à une analyse critique de l’ouvrage de Cécile Lavrard-Meyer, intitulé « Didier Ratsiraka. Transition démocratique et pauvreté à Madagascar » publié chez Karthala. Un gros livre de 600 pages où sont transcrits les entretiens qu’elle a eus avec l’ancien chef de l’Etat. Par des extraits d’ouvrages et des articles de presse, elle a su recréer dans cet ouvrage l’atmosphère d’une longue époque jusqu’à nos jours. Face aux polémiques nées de ses 23 ans à la tête de l’Etat, Didier Ratsiraka prétend, à travers ces entretiens, rétablir la « vérité historique ». La tribune libre a été rééditée par Tribune le 30/03/21

<> 28 03 21 - AFP - Mort de l'ancien président Didier Rarsiraka
Vingt ans de pouvoir soldés par un long exil en France... L'ex président de Madagascar et ardent militant anticolonial, Didier Ratsiraka, surnommé « l'Amiral rouge » pour son socialisme révolutionnaire décliné à la sauce locale, est mort dimanche à 84 ans sur l'île de l'Océan Indien. Hospitalisé à Antananarivo en début de semaine pour une grippe, Didier Ratsiraka a été président de 1975 à 1991, puis de 1997 à 2002. « Les Malagasy (Malgaches) ont perdu un illustre patriote », a déclaré l'actuel président, Andry Rajoelina, sur Twitter. Il sera enterré lundi.

- 28 03 21 - Chronique de Vanf - Didier Ratsiraka - Clap de pas fin
Comme tant d’autres, j’en aurai écrit sur Didier Ratsiraka. De ces nombreux textes, à la mesure de son extraordinaire longévité sur une scène médiatico-politique malgache qu’il aura réussi à occuper, sinon à accaparer, jusqu’aux derniers jours de sa vie, j’en choisis un, presque au hasard. Ce n’est pas l’hagiographie attendue en pareilles circonstances : mais, pouvait-on occulter le côté obscur dans « Ratsiraka, rien que Ratsiraka, mais tout Ratsiraka » ? « Vous admirez Ratsiraka, c’est votre problème » m’avait un jour dit un de ses vieux adversaires, Manandafy Rakotonirina. Admirer, n’est pas le mot juste. Pourtant, c’est celui qui se rapproche finalement le mieux de la vérité. Tour à tour, applaudi (1973 et la révision des accords de coopération), craint et détesté (1975-1990 et la République socialiste), insulté et maudit (les crises de 1991 et 2002), mais toujours écouté (jusqu’à 2020-2021 et cet épisode coronavirus), Didier Ratsiraka (4 novembre 1936- 28 mars 2021) n’a pas fini de faire parler de lui.

Lire aussi : 28 03 21 - Malagasynews - L'amiral Didier Ratsiraka décédé à 84 incarne un pan de l'histoire de Madagascar

<> 27 03 21 - Madagoravox - Vaccin Covid - A Mada ils sont complétement piqués...
La vue d’une pétition pour « Permettre l’accès au vaccin anti-Covid19 pour les Malagasy et résidents qui le souhaitent » m’a fait bondir … La question, oh combien éthique et essentielle du droit à la vaccination que doit exercer chaque individu, est légitimement posée… Sa formulation m’a interpellée : "[…] nous souhaiterions attirer votre attention sur les attentes et les besoins d’une partie de la population Malagasy qui aimerait pouvoir se faire vacciner contre la Covid19, et nous vous demandons humblement de mettre très bientôt le vaccin à disposition des Malagasy qui le souhaitent.[..]" L’humilité du ton m’interpelle…

- 24 03 21 - Le Monde - L'inquiétant "ni oui ni non" de l'exécutif malgache sur la vaccination
Alors que la deuxième vague fait des ravages, le gouvernement dit ne pas être « contre le vaccin » mais préfère miser sur son remède traditionnel à base d’artemisia. Andry Rajoelina persiste et signe. Un an jour pour jour après sa première prise de parole pour annoncer la fermeture des frontières de Madagascar à cause du Covid-19, le chef de l’Etat a évoqué lors d’une émission spéciale à la télévision, samedi 20 mars, ses doutes quant aux bienfaits de la vaccination. « Nous ne sommes pas contre le vaccin. Mais nous sommes en phase d’observation pour le moment. Il y a trop d’effets secondaires […] Personnellement, je ne suis pas encore vacciné et je n’ai pas l’intention de me vacciner », a déclaré le président en montrant face caméra une boîte de CVO+, la formule galénique du remède traditionnel à base d’artemisia Covid-Organics (CVO) qu’il a lancé il y a près d’un an. La production de CVO et de CVO+, dont Andry Rajoelina a fait le fer de lance de sa stratégie sanitaire, s’est accélérée pour faire face à la seconde vague de contaminations que connaît aujourd’hui Madagascar. Bien qu’aucune étude scientifique ne vienne pour le moment étayer les effets thérapeutiques de ces remèdes, la tisane devrait être bientôt distribuée gratuitement au niveau des fokontany (sorte de mairies de quartier) et des centres de santé de base.

<> 19 03 21 - Appel solennel de la PFNOSCM pour sauver la patrie
Madagascar traverse de nouveau selon elle un moment très délicat de son histoire
. Les séquelles des confinements continuent de peser sur le quotidien des citoyens. Les tensions politiques actuelles étaient prévisibles, au vu du contexte mondial de la pandémie. Elles ont été aggravées par un style de gouvernance qui tend vers l’autocratie en fermant tout véritable dialogue et toute transparence dans la gestion de la crise sanitaire. Une gestion inquiétante qui favorise l’anarchie, la défaillance de l’Etat et constitue une menace pour la République. Et la PFNOSCM de citer des causes de ce climat délétère : séquelles de crises politiques récurrentes mal résolues, gestion politisée, opaque, unilatérale, exclusive, injuste, discriminatoire et non-visionnaire de la pandémie, gestion opaque et douteuse des aides extérieures liées à la pandémie, absence de mesure concrète et efficace pour protéger les emplois, pour alléger et soutenir les entreprises sur les méfaits du confinement, perception controversée des priorités étatiques qui aggrave les inégalités, inexistence d’une vision et d’une politique nationale de développement à long terme partagée par toutes les forces vives, dilapidation des ressources naturelles et destruction de l’environnement au profit d’une classe politique appartenant à un réseau mafieux hautement protégé, élections démocratiques de façade, restriction de l’espace civique, véritable danger pour la démocratie. La PFNOSCM prône la mise en œuvre d’une véritable réconciliation nationale, une refondation de la République, la restauration de l’Etat de droit, l’instauration de la décentralisation, le renforcement des instruments anti-corruption, la refonte de la liste et des lois électorales et la redéfinition de la mission des forces de défense et de sécurité.

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19 03 21 - Amnesty International - Le déni face aux vaccins anti-COVID-19 prive des millions de personnes de toute vaccinationr
Alors que la majorité des pays du monde tentent de se procurer autant de vaccins anti-COVID-19 validés par l’OMS que possible, le gouvernement de Madagascar recommande un traitement à base de plantes qu’il qualifie de « remède miracle ». Aucun élément ne permet de penser que Covid Organics (CVO), un tonique à base de plantes, est efficace dans la prévention des infections au COVID-19, ce qui n’empêche pas le gouvernement d’en faire la promotion en réponse à la hausse du nombre de cas recensés.Les autorités doivent cesser de bloquer au niveau national les vaccins contre le COVID-19 et établir un plan concret afin de fournir des doses susceptibles de sauver des vies, et lui associer une stratégie nationale de vaccination sensée. S’il ne le fait pas, le gouvernement manquera gravement à ses devoirs en matière de droits humains, ce qui pourrait avoir des conséquences désastreuses et donner lieu à de nouveaux décès.

- 07 03 21 - D'après La lettre de l'Océan Indien, l'equipe rapprochée d'Andry Rajoelina
Andry Rajoelina s'appuie sur une équipe triée sur le volet pour gérer les affaires du pays. Choisis avant tout pour leur fidélité, ces conseillers privilégient la communication.La Lettre de l'océan Indien (Africa Intelligence) pass en revue la lste des femmes et des hommes qui agissent dans l'ombre du prsident.

 


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28 février 2021

REVUE DE PRESSE - FEVRIER 2021

SOMMAIRE

POLITIQUE

  • Affaires nationales
  • Lutte contre le coronavirus
  • Diplomatie, géopolitique

DROITS HUMAINS - GOUVERNANCE

  • Insécurité, dahalo, vindicte populaire
  • Justice
  • Gouvernance
  • Trafics d'or à destination de Dubaï via l'Afrique du Sud
  • Droits des femmes
  • Agitation dans les universités, droits de l'enfant
  • Santé
  • Migrations, code de la nationalité
  • Médias, réseaux sociaux

ÉCONOMIE - SOCIAL

  • Ressources naturelles
  • Environnement, foncier
  • Coopération, bailleurs de fonds
  • Economie, social

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Planche

24 février 2021

ARTICLES REMARQUES - FEVRIER 2021

<> 24 02 21 - Le Mouvement Rohy prend position sur la gestion des manifestations par le pouvoir
"Alors que le pays doit déjà affronter un contexte socio-économique éprouvant avec la persistance du Covid19 au niveau national et mondial, devant la recrudescence actuelle des manifestations de nature politique et/ou sociale et face au contexte politique délétère, le Mouvement de la société civile Rohy ne peut rester silencieux et exprime son opinion pour protéger de manière impartiale et non partisane les intérêts de la population, objectif qui constitue sa mission principale."

- 23 02 21 - Société civile & Collectif Tany - L'agrégation agricole dans la stratégie nationale de l'agribusiness à Madagascar
L’« agrégation agricole », nouveau concept promu par le ministère de l’agriculture pour atteindre l’autosuffisance alimentaire, et l’agribusiness le modèle à développer pour transformer le secteur.
L’agrégation agricole consiste en un contrat signé entre des coopératives d’agriculteurs, éleveurs ou pêcheurs, les « agrégés », et une entreprise, l’investisseur,« l’agrégateur ». Il s’agit d’une forme d’agriculture contractuelle déjà pratiquée à Madagascar. L’entreprise avance les semences, engrais, matériel et encadre les paysans.  Les paysans cultivent leurs terres en utilisant les intrants fournis, en respectant strictement les différentes instructions de l’entreprise et doivent lui vendre, à un prix souvent fixé au moment de la signature du contrat, toute leur récolte sauf les produits qui ne respectent pas les normes. La perte d’autonomie des paysans est manifeste, la plus-value bénéficie majoritairement à l’investisseur, le partenariat est « petit gagnant-grand gagnant », dénoncent la société civile et le Collectif Tany, pour qui la signature des contrats par des coopératives à la place des paysans, membres ou non d’associations, maintiendra le rapport de forces très inégal entre l’investisseur et les agriculteurs. Par ailleurs, la logique économique des agrégateurs risque de les amener à préférer investir dans des produits à forte valeur ajoutée qui ne sont pas des produits vivriers. Et même s’ils s’engagent dans la riziculture, ils risquent de préférer exporter le riz. De gros doutes sont donc émis sur la capacité de cette stratégie à atteindre l’autosuffisance alimentaire. L’agrégation agricole ayant été appliquée pendant plus de 10 ans par le plan Maroc Vert, les principaux enseignements de l’expérience montrent que le paysan devient de plus en plus dépendant et n’a pas les moyens de contrôler les prix de vente de sa production. Un appel à la vigilance de tous les citoyens est lancé donc dans le cadre du futur projet de loi annoncé dans la stratégie nationale de l’agribusiness.

- 16 02 21 - Unicef - Instat - Fécondité et planification familiale en 2018
L'enquête nationale sur la situation socio-démographique des ménages indique qu'entre 2015 et 2018 une femme en âge de procréer a en moyenne 4,6 enfants. La fécondité de femmes est plus élevée en milieu rural (5 enfants par femme) qu’en milieu urbain (3,4 enfants par femme). Les disparités sont notables selon la région et les caractéristiques socioéconomiques (5,1 enfants chez les femmes non instruites et 6,7 chez les plus pauvres).  La prévention de la maternité précoce serait une mesure importante pour réduire les naissances avant l'âge de 18 ans, dont la tendance montre une augmentation parmi les jeunes générations.  Deux femmes en union sur cinq (40 %) utilisent une méthode contraceptive moderne. Parmi les femmes de 15-49 ans mariées ou en union, 65 % de leur demande en contraception sont satisfaites avec une méthode moderne. Ce qui requiert inévitablement des efforts supplémentaires pour répondre à la demande.

<> 13 02 21 - Collectif Mitsio - Quel futur pour les Mitsio ? Hôtel de luxe ou communauté durable ?
Les villageois de Nosy Mitsio vont-ils être expulsés au profit d'un investisseur européen ? Un projet touristique privé de grande envergure a été dévoilé aux habitants durant la pandémie de Covid-19. Sur cette île encore préservée, ce projet prévoit les constructions d'un port, d'un terrain d'aviation, de routes et de structures d'accueil. Avec ce projet, ce sont surtout 2000 villageois et leurs enfants qui risquent d'être expulsés de leur île. Cette menace pèse sur la pérennité de tous les projets communautaires. « Acceptons-nous que tous les villageois de Nosy Mitsio puissent être expulsés de leurs terres ancestrales afin qu'un investisseur y construise des hôtels de luxe et de vacances ? », interpelle le Collectif Mitsio. Dans un mois, les représentants de Nosy Mitsio remettront une pétition au Président de la République, au ministre de l'aménagement du territoire et au gouverneur de la région Diana pour demander d'arrêter ce projet touristique et-de soutenir concrètement les projets communautaires et durables sur Nosy Mitsio. La pétition est en ligne

Pétition pour renforcer la voix de Mitsio et donner à ces enfants, ces femmes et ces hommes le droit de choisir leur propre avenir : ICI

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09 02 21 - Société civile - Les autorités doivent affirmer leur refus définitif d'exploitation des terres rares dans le district d'Ambanja
La société civile alertes sur la poursuite d’essais pilote d’extraction de terres rares à Ampasindava,
dans le district d’Ambanja. Les communautés locales, les organisations de la société civile et les opérateurs économiques et touristiques de la région Diana ont remarqué que malgré leur opposition au projet de la société RREM, celle-ci semble décidée à effectuer rapidement des essais pilotes d’extraction. Elle rappelle que de tels essais auront les mêmes conséquences désastreuses sur des milliers d’hectares d’espaces naturels que l’exploitation proprement dite. Depuis novembre, des consultations publiques ont été annoncées par la société RREM. Certaines ont été annulées faute de présence des autorités ou des populations concernées, tandis que d’autres ont été menées, dont celle du 29 janvier 2021. Les organisations de la société civile sont préoccupées par l’absence de l’Office National pour l’Environnement (ONE) qui devrait être le principal organisateur de ce processus. Malgré les engagements pris par les autorités à l’endroit des opérateurs touristiques de ne pas autoriser la mise en œuvre du projet, aucune annonce ou mesure officielle n’a été prise.

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08 02 21 - Front line defender - Menaces contre le défenseur des droits humains Ralibera Andriamaholy Jerisoa

Le 30 janvier, le défenseur des droits humains Ralibera Andriamaholy Jerisoa a été arrêté, sans mandat, par quatre policiers armés et emmené au poste de police à la suite de l'organisation d'une réunion prévue le même jour. Il a été relâché deux heures plus tard, mais il a depuis reçu des menaces persistantes de la part d'individus inconnus. Ralibera Andriamaholy Jerisoa est président de l'Union paramédicale des infirmières et sages-femmes de Madagascar. Le syndicat se bat pour de meilleures conditions de travail et pour promouvoir les droits des paramédicaux. Il se croit visé en raison de ses travaux dénonçant le non-respect de la loi 20 mars 2020 relative à la réquisition du personnel médical pendant la période du 20 mars au 3 novembre par l'Etat dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. L'Etat avait promis de verser à chaque membre du personnel médical une indemnité qui n'a toujours pas été versée. Ralibera Andriamaholy Jerisoa a mené les revendications des droits du personnel médical. Front Line Defenders est gravement préoccupée par ces menaces. L’association croit qu'elles sont directement liées à son travail pacifique et légitime de défense des droits humains.

- 04 02 21 – France 24 s’est procuré des documents exclusifs qui contredisent la version officielle des autorités concernant l’exportation de lingots d’or en Afrique du Sud.
Cette opération aurait été organisée en accord avec les autorités. Le vol aurait obtenu les autorisations nécessaires.
https://www.boursorama.com/videos/actualites/affaire-des-lingots-d-or-a-madagascar-les-documents-france-24-contredisent-la-version-officielle-ed2feb2a5a9dc89ebdecde7ea569c9eb (de 1’08 à 3’01)

- 02 02 21 - Blog Médiapart - Des fiertés coloniales aux grandes fortunes de Madagascar
Pourquoi Madagascar est le pays le plus pauvre de la planète ? La colonisation économique a-t-elle pris fin en 1960 ? Découvrons comment les familles ayant bénéficié de la colonisation pilotent en 2021 les sphères économiques et politiques du pays.

 

 


 <> Articles particulièrement signalés - <>doc  Documents à valeur permanente

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31 janvier 2021

REVUE DE PRESSE - JANVIER 2021

SOMMAIRE

POLITIQUE

  • Affaires nationales
  • Lutte contre le coronavirus
  • Diplomatie

DROITS HUMAINS - GOUVERNANCE

  • Insécurité, dahalo, vindicte populaire, enlèvements
  • Justice
  • Condition carcérale
  • Gouvernance - Trafics d'or
  • Droits des femmes, violences basées sur le genre
  • Université, éducation, droits de l'enfant
  • Santé
  • Migrations
  • Médias

ÉCONOMIE - SOCIAL

  • Ressources naturelles
  • Environnement, foncier
  • Le kere dans le Sud
  • Coopération, bailleurs de fonds
  • Economie, social

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L'actualité du mois vue par le dessinateur de presse Pov

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